Après une dizaine
de jours passés à Cumberland, nous levons l'ancre direction BEQUIA
(à prononcé « béquié »), la première ile des
Grenadines. Dès que nous mouillions à Princess Margaret Beach, Tom
s'écrie : « ouah, regarde comme l'eau est bleu….. ».
Ca y est, on y est, il n'ya as de doute nous sommes bien dans les
Grenadines et l'eau est vraiment turquoise… C'est beau…..
Nous visitons Bequia
durant 4 jours. Il ya un beau chemin aménagé qui longe la cote pour
rejoindre Port Elysabeth. Je prend le bus pour visiter l'ile et je
tombe sur un chauffeur bien sympa qui me commente les paysages et me
fait office de guide. Il me montre l'observatoir ds baleines. A
Bequia, on chasse la baleine. Le quota est de deux baleines par an.
Nous continuons plus
au sud : stop d'un jour à CANOUAN. Olivier peche de très
belles langoustes que l'on deguste à l'armoricaine (merci encore
Christine pour cette recette : langouste que l'on fait mijoter
dans de la creme fraiche et du concentré de tomate.)
Nous faisons une
belle escale d'une dizaine de jour à MAYEREAU à Saline Bay. Nous
nous plaisons beaucoup à ce mouillage où s'étend une très belle
plageéquipée de barbecue et de table. Nous avons d'ailleurs
organsié avec les bateaux de mouillage un beau barbecue de poulet
avec « Optinazion » avec à sn bord Thibaut, Nadége et
leur fils Elio (7 ans) et « Tcho Bello » avec Sylvie, Seb
et leur deux filles Elie (3 ans) et Malou (4 mois).
Les paysages de
Mayereau sont à couper le soufle : nous faisons le tour de
l'ile à pied tous ensemble cette fois ci. Nous longeons de
magnifiques plages de sables blanc, il y a de superbes camaieu de
bleu turquoise et un vue imprenable sur les fameuses Tobago Cayes.
En haut de l'ile, il y a un petit village ou trone une petite église.
Coté gastronomie : Mayreau c'est la mecque du lambi (gros
coquillage). Manger du lambi, ça se mérite ! La pêche est
facile ici car il le fond est tapissé de coquillage. Non, ce qui est
fastidieux, c'est la préparation. Tout d'abord, il casser avec un
marteau puis les sortir de leur coquille. Ensuite, on prend le
molusque et on le frotte avec du sable pour enlever une partie
visqueuse. Puis, il faut les attendrir en les tapant avec un marteau.
Et enfin, il faut bien tout nettoyer pour enlever les grins de sable
(car sous la dent c'est pas le top!). Ensuite je les coupe en petit
morceau et je les fais mariner dans de l'huile d olive, citron, ail,
cives, piments végétariens. Je les fais revenir cinq minutes à la
poele et c'est trop bon. Mais la top recette que j'ai trouvé :
faire une tielle sétoise aux lambis (tourte à tomate de Setes ou
normalement on met du poulpe mais moi je le remplace par du lambi).
C'est vriament délicieux…
A Mayereau, nous
avons épuisé notre réserve d'eau. Nous voulons tout de meme rester
encore un petit peu sur cette ile alors je prend mon kayac et je vais
demander 5 litres d'eau aux bateaux d'à côté. C'est comme ça que
j'ai rencontré les « batocousin » : deux familles
ayant loué chacune un cata pour 6 mois avec à leur bord 3 enfants
chacun. Pour ceux que ça interesse, voici leur blog http://lesbatocousins.wordpress.com/
Et nous terminons
pour les Grenadines de Saint Vincent par le mouillage de Chatam à
UNION. Ce mouillage est vraiment chouette mais...il y a des rafales
tourbillonantes de malade. Nous n'avons pas dormi de la nuit et nous
décidons de partir de Union pour rejoindre Cariacou. Mais avant, il
faut faire la clearance de sortie. Les douanes et l'immigrations se
trouvent à Cliffton (de l'autre côté de l'ile). Du coup, je prend
Pénélope sur le dos et je pars à pied pour rejoindre Clifton en
pensant que ce n'est pas tres loin… Mais en fait, je me suis prise
un sacré coup de chaud car il faut déjà attaqué par une sacré
dans une foret pleine de lezard de partout. Je commence à me faire
un coup de flip en me disant que si il y a des centaines de lézards,
il y a aussi peut etre plein de serpent...En plus, c'est plein de
boue donc je suis obligé de me mettre pieds nues car sinon des tongs
collent de trop ! Et puis, pas de bol je m'annonce une épine
dans le pied qui me fera souffrir tout le long de ma « ballade ».
Bon, ouf, j'arrive au sommet de la montagne et j'ai rejoins une
route. Mais cette route à l'air abandonée et il n'ya aucu véhicule
qui circule (moi qui pensait prendre le bus ou faire du stop). Je
continue sur cette route ou je degouline car il fait une chaleur de
fou… J'aperçois Ti Tom au fond de la baie entre les arbres, c'est
jolie….mais il fait sacrément chaud dans ce pays !
Je continue et j'apercoie une maison puis un village : ASHTON. Je suis soulagée surtout quand un bus vient à m'a rencontre pour m'emmener à CLIFFTON. Le retour se fera plus facillement car le bus me posera au début d'un autre sentier pour rejoindre la plage de Chatam (et surtout la c'est que de la descente!). Avant de quitter Union, Olivier pechera sa première raie qui rentre pile dans notre poele !
Je continue et j'apercoie une maison puis un village : ASHTON. Je suis soulagée surtout quand un bus vient à m'a rencontre pour m'emmener à CLIFFTON. Le retour se fera plus facillement car le bus me posera au début d'un autre sentier pour rejoindre la plage de Chatam (et surtout la c'est que de la descente!). Avant de quitter Union, Olivier pechera sa première raie qui rentre pile dans notre poele !
Le 13 aout 2014,
nous arrivons à Tyrell Bay à Carriacou. Alors là, Tom était le
plus heureux du monde car nous faisons la rencontre du bateau
« Kalone » avec à son bord trois petit français :
Alice, Félix et Thiphène. Tom s'amuse comme un petit fou avec ses
nouveaux amis mais malheursement ils partent au bout d'une semaine
pour rejoindre l'ile de Tobago plus au sud. On espère recroiser leur
route un peu plus tard avant qu'il prenne la direction du Pacifique.
Le 29 aout 2014,
nous levons Ti Tom pour le caréner. C'est notre premier carénage et
j'apréhende un peu le fait d'avoir le bateau sur cale au milieu d'un
chantier. Côté boulot : Olivier n'arrete pas de la journée à
une température avoisinant les 40 degrés.
Il n'y a pas d'air et il faut ponser, nettoyer, laver et peindre la coque. Pendant ce temps là, je suis à la plage toute la journée avec les enfants. Les premiers jours, j'essaie de faire la sieste dans les hamacs à la plage mais...je me rend vite compte que c'est une mauvaise idée. Nous nous faisons à chaque fois surprendre par des grains (la pluie) et les moustiques viennent nous attaquer. Les enfants sont fatiguée, énervée de passer toute la journée à l'extérieu chaud. Ils ont encore besoin tous les deux de faire une bonne sieste l'après-midi. Donc on se résout à faire la sieste au carénage au bateau où la température est de 40 degrés mais bon, au moins ils dorment, meme s'ils ont chaud, ils arrivent à faire la sieste.
Il n'y a pas d'air et il faut ponser, nettoyer, laver et peindre la coque. Pendant ce temps là, je suis à la plage toute la journée avec les enfants. Les premiers jours, j'essaie de faire la sieste dans les hamacs à la plage mais...je me rend vite compte que c'est une mauvaise idée. Nous nous faisons à chaque fois surprendre par des grains (la pluie) et les moustiques viennent nous attaquer. Les enfants sont fatiguée, énervée de passer toute la journée à l'extérieu chaud. Ils ont encore besoin tous les deux de faire une bonne sieste l'après-midi. Donc on se résout à faire la sieste au carénage au bateau où la température est de 40 degrés mais bon, au moins ils dorment, meme s'ils ont chaud, ils arrivent à faire la sieste.
Côté repas :
on ne peut pas cuisiner au bateau car on n'a pas l'évacuation d'eau
(on n'a pas de toilette non plus!) alors on mange au resto tous les
midi (ça c'est cool!!!!). On se régale dans un petit restaurant
local pour 15 EC le repas (soit environ 4 euros). On mange ce que
d'habitude on ne mange plus c'est-à-dire de la viande : poulet,
porc et surtout agneau.